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Ma cousine Rachel, Daphné du Maurier - My Cousin Rachel, roman traduit de l'anglais - "Je n'avais aucun pressentiment en parlant avec Ambroise, ce soir d'automne, à la veille de son départ pour son dernier voyage. Rien ne me dit que nous ne devions jamais nous revoir. C'était le troisième hiver que les médecins lui ordonnaient de passer à l'étranger, et j'étais habitué à son absence et à tenir sa place dans l'administration du domaine Le premier automne où il était parti, j'étais encore à Oxford et son départ ne m'avait guère touché, mais le second je rentrai définitivement, comme il le souhaitait. Je ne regrettais point l'existence grégaire d'Oxford, au fond j'étais heureux d'en avoir fini. Je n'ai jamais désiré être ailleurs qu'ici. En dehors de mes années d'études à Harrow, puis à Oxford, je n'ai jamais vécu autre part qu'en cette maison où je vins habiter à l'âge de dix-huit mois après la mort de mes jeunes parents. Ambroise, dans sa générosité bizarre, se prit de pitié pour ce petit cousin orphelin et m'éleva comme il eût fait pour un petit chien ou un petit chat, n'importe quelle créature fragile et abandonnée privée de protection." L'affection que le jeune Philip nourrit, en dépit de la différence d'âge, pour son cousin Ambroise Ashley le pousse à gagner Florence sitôt que ce dernier, qui a épousé une comtesse italienne, lui écrit pour demander son aide. A peine arrivé, il apprend la mort d'Ambroise et repart sans avoir pu démêler le mystère qui entoure l'existence de la comtesse Rachel. Quand la cousine Rachel rejoint soudain Philip en Angleterre, elle porte à son comble la confusion des sentiment... de haine et de désir qui animent le protégé d'Ambroise. éditions Albin Michel 1952. #manoir anglais, #mystères, #roman d'amour, #roman pas cher.
Ma cousine Rachel, Daphné du Maurier - My Cousin Rachel, roman traduit de l'anglais -
"Je n'avais aucun pressentiment en parlant avec Ambroise, ce soir d'automne, à la veille de son départ pour son dernier voyage. Rien ne me dit que nous ne devions jamais nous revoir. C'était le troisième hiver que les médecins lui ordonnaient de passer à l'étranger, et j'étais habitué à son absence et à tenir sa place dans l'administration du domaine Le premier automne où il était parti, j'étais encore à Oxford et son départ ne m'avait guère touché, mais le second je rentrai définitivement, comme il le souhaitait. Je ne regrettais point l'existence grégaire d'Oxford, au fond j'étais heureux d'en avoir fini.
Je n'ai jamais désiré être ailleurs qu'ici. En dehors de mes années d'études à Harrow, puis à Oxford, je n'ai jamais vécu autre part qu'en cette maison où je vins habiter à l'âge de dix-huit mois après la mort de mes jeunes parents. Ambroise, dans sa générosité bizarre, se prit de pitié pour ce petit cousin orphelin et m'éleva comme il eût fait pour un petit chien ou un petit chat, n'importe quelle créature fragile et abandonnée privée de protection."
L'affection que le jeune Philip nourrit, en dépit de la différence d'âge, pour son cousin Ambroise Ashley le pousse à gagner Florence sitôt que ce dernier, qui a épousé une comtesse italienne, lui écrit pour demander son aide. A peine arrivé, il apprend la mort d'Ambroise et repart sans avoir pu démêler le mystère qui entoure l'existence de la comtesse Rachel. Quand la cousine Rachel rejoint soudain Philip en Angleterre, elle porte à son comble la confusion des sentiment... de haine et de désir qui animent le protégé d'Ambroise
éditions Albin Michel 1952. #manoir anglais, #mystères, #roman d'amour, #roman pas cher.
Description : livre broché, couverture souple, 394 pages. format 20,5 cm x 13,5 cm. bon état.
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