La chambre de Goethe, Frédérique Hébrard, 1981 - guerre 1939/1945, biographie, André Chamson
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La chambre de Goethe, Frédérique Hébrard - "Plus tard je serai danseuse, et comédienne, et écrivain comme tout le monde. En attendant je vais bientôt partir en vacances avec mon chien. Quand je reviendrai, je serai une jeune fille, ils n'en croiront pas leurs yeux. Vite, vite, vite ! Comme tout ça est long. Enfin il n'y a plus trop de jours à attendre. Nous sommes le 15 juin 1939." Frédérique Hébrard nous conte ici, avec beaucoup de charme et de sensibilité, l'histoire d'une petite fille, qui devient une jeune fille, tout au long des années de guerre. Cette guerre, d'abord, n'est pas réellement vécue. Au gré des déplacements de ses parents qui vont de château en château afin de mettre à l'abri les trésors du Louvre, Frédérique continue à se mouvoir dans son monde à elle, un monde de joie. On rit alors beaucoup avec la petite Frédérique. Puis peu à peu, bien qu'on ne lui dise rien, celle-ci prend conscience de ce qui l'entoure, de la force du mal qui sévit en dehors du cercle familial et qui menace celui-ci. Ce cercle, la Chambre de Goethe le symbolise. La Chambre de Goethe, tel est le nom qu' donné André Chamson, père de Frédérique, à leur appartement de Montauban. pourquoi ce nom ? parce que Goethe, c'est la culture universelle, c'est l'image de la civilisation et le message d'espoir au sein de la guerre : une guerre qui commence à faire le vide autour de la petite jeune fille.
Octobre 1980. Frédérique Hébrard a voulu revenir sur ses pas, revoir la Chambre de Goethe e ce qu'il en reste. La guerre est-elle vraiment finie ? . éditions Flammarion 1981. #guerre 1939 1945, #biographie, #André Chamson
La chambre de Goethe, Frédérique Hébrard - "Plus tard je serai danseuse, et comédienne, et écrivain comme tout le monde. En attendant je vais bientôt partir en vacances avec mon chien. Quand je reviendrai, je serai une jeune fille, ils n'en croiront pas leurs yeux. Vite, vite, vite ! Comme tout ça est long. Enfin il n'y a plus trop de jours à attendre. Nous sommes le 15 juin 1939."
Frédérique Hébrard nous conte ici, avec beaucoup de charme et de sensibilité, l'histoire d'une petite fille, qui devient une jeune fille, tout au long des années de guerre. Cette guerre, d'abord, n'est pas réellement vécue. Au gré des déplacements de ses parents qui vont de château en château afin de mettre à l'abri les trésors du Louvre, Frédérique continue à se mouvoir dans son monde à elle, un monde de joie. On rit alors beaucoup avec la petite Frédérique.
Puis peu à peu, bien qu'on ne lui dise rien, celle-ci prend conscience de ce qui l'entoure, de la force du mal qui sévit en dehors du cercle familial et qui menace celui-ci. Ce cercle, la Chambre de Goethe le symbolise. La Chambre de Goethe, tel est le nom qu' donné André Chamson, père de Frédérique, à leur appartement de Montauban. pourquoi ce nom ? parce que Goethe, c'est la culture universelle, c'est l'image de la civilisation et le message d'espoir au sein de la guerre : une guerre qui commence à faire le vide autour de la petite jeune fille.
Octobre 1980. Frédérique Hébrard a voulu revenir sur ses pas, revoir la Chambre de Goethe e ce qu'il en reste. La guerre est-elle vraiment finie ?
. éditions Flammarion 1981. #guerre 1939 1945, #biographie, #André Chamson
Description : livre broché, couverture souple, 245 pages, format 20 cm x 14,5 cm. bon état. tampon sur la page de garde.
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Octobre 1980. Frédérique Hébrard a voulu revenir sur ses pas, revoir la Chambre de Goethe e ce qu'il en reste. La guerre est-elle vraiment finie ? . éditions Flammarion 1981. #guerre 1939 1945, #biographie, #André Chamson