Eté indien, Roger Vercel - belle reliure des Editions Rencontre, Lausanne.
Eté indien est le dernier qu'il écrivit. fut composé à la suite d'un voyage à New-York, en octobre 1955. Ce mois d'octobre amène une période de chaleur très forte quelques semaines avant l'hiver, ce qui lui vaut, en Amérique, le nom d'Eté indien. Mon mari prit beaucoup de notes pendant toute la traversée et son séjour dans la ville. Sur Liberté, tout l'intéressait et aucun détail de la vie de bord, depuis les passagers, le personnel, la table du Commandant ou la salle des machines ne lui demeura étranger. Il en fut de même pour New-York qu'il parcourut sans guide afin de le faire en toute indépendance. Cette Claude de Sévignac représente le type de ces femmes que mon mari estimait et admirait, dont on pouvait exiger beaucoup et qui savaient conserver, même dans la détresse, une certaine grandeur."
Partie joyeuse du Havre, Claude de Sévignac réprime mal une certaine inquiétude en arrivant aux Etats-Unis. Pendant toute la traversée, elle a vainement attendu de son mari une réponse au télégramme annonçant sa visite imprévue. A-t-elle eu tort d'accepter sans le consulter le voyage gratuit qu'on lui offrait pour le rejoindre à Norfolk où il est détaché par la Marine depuis deux ans ? Elle a beau se dire que non, son pressentiment se confirme : Paul ne vient la voir à New York que pour discuter divorce. Rester sur place et le disputer à une autre ? Claude a trop de fierté pour y consentir. Sourde aux voix qui murmurent que Paul risque le naufrage dans cette aventure, la jeune femme repart aussitôt pour la France. Mais l'océan et ses fureurs rappelleront à cette fille de marins la grande loi d'entraide que nul ne doit transgresser.
éditions Rencontre, Lausanne. (sans date, approximativement 1970) - #infidélité, #bateau transatlantique, #New York 1960, #roman d'amour, #éditions Rencontre
Eté indien, Roger Vercel - belle reliure des Editions Rencontre, Lausanne.
Eté indien est le dernier qu'il écrivit. fut composé à la suite d'un voyage à New-York, en octobre 1955. Ce mois d'octobre amène une période de chaleur très forte quelques semaines avant l'hiver, ce qui lui vaut, en Amérique, le nom d'Eté indien. Mon mari prit beaucoup de notes pendant toute la traversée et son séjour dans la ville. Sur Liberté, tout l'intéressait et aucun détail de la vie de bord, depuis les passagers, le personnel, la table du Commandant ou la salle des machines ne lui demeura étranger. Il en fut de même pour New-York qu'il parcourut sans guide afin de le faire en toute indépendance. Cette Claude de Sévignac représente le type de ces femmes que mon mari estimait et admirait, dont on pouvait exiger beaucoup et qui savaient conserver, même dans la détresse, une certaine grandeur."
Partie joyeuse du Havre, Claude de Sévignac réprime mal une certaine inquiétude en arrivant aux Etats-Unis. Pendant toute la traversée, elle a vainement attendu de son mari une réponse au télégramme annonçant sa visite imprévue. A-t-elle eu tort d'accepter sans le consulter le voyage gratuit qu'on lui offrait pour le rejoindre à Norfolk où il est détaché par la Marine depuis deux ans ? Elle a beau se dire que non, son pressentiment se confirme : Paul ne vient la voir à New York que pour discuter divorce. Rester sur place et le disputer à une autre ? Claude a trop de fierté pour y consentir. Sourde aux voix qui murmurent que Paul risque le naufrage dans cette aventure, la jeune femme repart aussitôt pour la France. Mais l'océan et ses fureurs rappelleront à cette fille de marins la grande loi d'entraide que nul ne doit transgresser.
éditions Rencontre, Lausanne. (sans date, approximativement 1970) - #infidélité, #bateau transatlantique, #New York 1960, #roman d'amour, #éditions Rencontre
Description : livre relié, couverture simili-cuir 248 pages. format 21 cm x 14,5 cm. bon état.
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