Chronique de la tradition perdue, T2 Le respect de l'argent, Paul Dresse, 1957 - dédicacé par Paul Dresse, histoire Belgique
12,00 €
TTC
Le respect de l'argent, tome 2, Chronique de la Tradition Perdue, Paul Dresse - exemplaire dédicacé par Paul Dresse : "A "La Croix de Lorraine", cet essai de Saga belge, en hommage." Avec, en dessous, un tampon : "Jean Villemin, Epinal". Le Respect de l'Argent forme le deuxième tome d'une sorte d'épopée bourgeoise, consacrée au développement moderne du pays de Liège sous ce titre d'ensemble, Chronique de la Tradition perdue. Dans le premier volume (paru sans autre titre), on voyait s'élever trois familles vouées à la fabrication des armes : les Rawez, les Gonesse et les Valençay, alliés d'ailleurs par des mariages qui ne les empêcheront pas de se brouiller quand, à la seconde génération, les intérêts viendront à s'opposer. L'apport étranger est représenté par la Néerlandaise Emma Gonesse, aussi férue de socialisme que de musique, et par la famille de Frédéric Frühling, appelé d'Allemagne pour occuper, à Liège, une chaire d'université. Ce Frédéric a trois enfants : Karl, qui marche sur ses traces sans pour cela s'entendre avec lui ; Annchen, qui se fiancera au fils Rawez ; et Rudi, nature sensitive qui va devenir un musicien remarquable. C'est une vraie entreprise dont le but est de rattacher à l'Histoire universelle la vie de la jeune nation belge émancipée seulement depuis 1830, et cela à travers le destin particulier de quelques familles. Les membres de ces familles, de 1792 à 1920, se sont élevées dans l'industrie, la politique et la vie culturelle. Collection Alternance, Les éditions du Scorpion, Paris, 1957. #dédicace Paul Dresse, #autographe Paul Dresse, #livre dédicacé, #bourgeois belges, #Belgique, Liège, #histoire de la Belgique, #armuriers belges, #saga belge, #saga familiale, #industries belges, #généalogie Villemin Epinal, #La Croix de Lorraine, #écrivain belge, #littérature belge, #édition épuisée, #livre rare.
Le respect de l'argent, tome 2, Chronique de la Tradition Perdue, Paul Dresse - exemplaire dédicacé par Paul Dresse : "A "La Croix de Lorraine", cet essai de Saga belge, en hommage." Avec, en dessous, un tampon : "Jean Villemin, Epinal".
Le Respect de l'Argent forme le deuxième tome d'une sorte d'épopée bourgeoise, consacrée au développement moderne du pays de Liège sous ce titre d'ensemble, Chronique de la Tradition perdue.
Dans le premier volume (paru sans autre titre), on voyait s'élever trois familles vouées à la fabrication des armes : les Rawez, les Gonesse et les Valençay, alliés d'ailleurs par des mariages qui ne les empêcheront pas de se brouiller quand, à la seconde génération, les intérêts viendront à s'opposer. L'apport étranger est représenté par la Néerlandaise Emma Gonesse, aussi férue de socialisme que de musique, et par la famille de Frédéric Frühling, appelé d'Allemagne pour occuper, à Liège, une chaire d'université. Ce Frédéric a trois enfants : Karl, qui marche sur ses traces sans pour cela s'entendre avec lui ; Annchen, qui se fiancera au fils Rawez ; et Rudi, nature sensitive qui va devenir un musicien remarquable.
"Rentré de Londres, Lambert, ses études terminées, avait épousé Annette Frühling. Une petite fille leur était née depuis deux mois à peine. Il était à présent directeur-adjoint de la fabrique d'armes. Non plus de la vieille Société Duratte, Gonesse et Cie, mais d'une affaire nouvelle, qui avait largement hérité de sa clientèle, car le tribunal l'avait autorisé à garder l'ancienne raison sociale des Fabricants d'Armes liégeois. En revanche on avait dû renoncer à maintenir, dans la firme, le nom de l'associé Gonesse : celui-ci avait fondé sa propre affaire, où son fils aîné avait déjà trouvé place, et où il préparait la venue de l'autre. (...)
Précisément, ce matin du 16 juin 1870, tandis que Servais achevait de signer le courrier recopié par Lambert, René Valençay était venu au bureau. C'avait été un réel effort pour le boiteux, plus obèse que jamais ; mais les élections venaient d'avoir lieu , et il était impatient d'en commenter les résultats avec son beau-frère Rawez. - C'est lamentable disait-il, après s'être allumé un cigare. A cause de ces quatre dissidents, voilà le ministère menacé. - Tu peux dire : renversé, car je pense que Frère-Orban va démissionner. - Pourvu, dans ce cas, que le Roi n'aille pas appeler la droite au pouvoir - Il ne doit guère l'aimer, après la campagne qu'elle vient de mener contre l'armée. - Pourtant, il devra choisir : ou la gauche ou la droite.. Ah où sont les bons temps de l'unionisme C'est de cette formule-là que l'industrie a toujours besoin."
Avec la Chronique de la Tradition Perdue, Paul Dresse s'essuie pour la première fois au roman et, d'emblée, il a tenté une œuvre de longue haleine, qui embrasse plusieurs générations et s'étendra sur plus d'un siècle. C'est une vraie entreprise dont le but est de rattacher à l'Histoire universelle la vie de la jeune nation belge émancipée seulement depuis 1830, et cela à travers le destin particulier de quelques familles. Les membres de ces familles, de 1792 à 1920, se sont élevées dans l'industrie, la politique et la vie culturelle.
Collection Alternance, Les éditions du Scorpion, Paris, 1957. #dédicace Paul Dresse, #autographe Paul Dresse, #livre dédicacé, #bourgeois belges, #histoire de la Belgique, #armuriers belges, #saga belge, #saga familiale, #industries belges, #généalogie Villemin Epinal, #La Croix de Lorraine, #écrivain belge, #littérature belge, #édition épuisée, #livre rare.
Description : livre broché cousu, couverture souple, 255 pages. format 22,5 cm x 14 cm. bon état, quelques rousseurs sur la page de garde et la couverture.
3369
1 Produit
16 autres produits dans la même catégorie :
Le respect de l'argent, tome 2, Chronique de la Tradition Perdue, Paul Dresse - exemplaire dédicacé par Paul Dresse : "A "La Croix de Lorraine", cet essai de Saga belge, en hommage." Avec, en dessous, un tampon : "Jean Villemin, Epinal". Le Respect de l'Argent forme le deuxième tome d'une sorte d'épopée bourgeoise, consacrée au développement moderne du pays de Liège sous ce titre d'ensemble, Chronique de la Tradition perdue. Dans le premier volume (paru sans autre titre), on voyait s'élever trois familles vouées à la fabrication des armes : les Rawez, les Gonesse et les Valençay, alliés d'ailleurs par des mariages qui ne les empêcheront pas de se brouiller quand, à la seconde génération, les intérêts viendront à s'opposer. L'apport étranger est représenté par la Néerlandaise Emma Gonesse, aussi férue de socialisme que de musique, et par la famille de Frédéric Frühling, appelé d'Allemagne pour occuper, à Liège, une chaire d'université. Ce Frédéric a trois enfants : Karl, qui marche sur ses traces sans pour cela s'entendre avec lui ; Annchen, qui se fiancera au fils Rawez ; et Rudi, nature sensitive qui va devenir un musicien remarquable. C'est une vraie entreprise dont le but est de rattacher à l'Histoire universelle la vie de la jeune nation belge émancipée seulement depuis 1830, et cela à travers le destin particulier de quelques familles. Les membres de ces familles, de 1792 à 1920, se sont élevées dans l'industrie, la politique et la vie culturelle. Collection Alternance, Les éditions du Scorpion, Paris, 1957. #dédicace Paul Dresse, #autographe Paul Dresse, #livre dédicacé, #bourgeois belges, #Belgique, Liège, #histoire de la Belgique, #armuriers belges, #saga belge, #saga familiale, #industries belges, #généalogie Villemin Epinal, #La Croix de Lorraine, #écrivain belge, #littérature belge, #édition épuisée, #livre rare.